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La saison théâtrale 2023 s’est terminée comme un conte de fée. Littéralement.
En mai dernier, près de 40 élèves ont entraîné le public de la Salle Jean-Paul-Tardif dans l’univers féérique de « La Belle et la Bête ». C’est devant une salle comble que ce classique de Disney a été présenté à deux reprises, au Collège.
Dans un tourbillon de costumes, de décors et de numéros chantés, le public s’est laissé porter par la mise en scène majestueuse de la comédienne et créatrice Gabrielle Ferron.
Accompagnés par la danseuse Alice Vermandele et l’artiste multidisciplinaire Héra Ménard, nos élèves de première à cinquième secondaire ont brillamment incarné les personnages de ce célèbre conte. Les spectateurs sont restés ébahis devant les multiples talents révélés à travers cette fabuleuse comédie musicale.
Cette page qui s’est tournée sur les arts de la scène laisse un souvenir merveilleux et un sentiment de fierté au sein de notre communauté.
La Belle et la Bête
Un superbe début
Le coup d’envoi de la saison théâtrale avait été donné, en mars dernier, par la troupe de théâtre parascolaire du deuxième cycle. Après plusieurs semaines de préparation, les élèves ont présenté devant public l’excellente pièce « Don Quichotte remix ».
C’est le comédien professionnel et ancien du Collège, Marc-Antoine Marceau, qui a assuré la mise en scène de cette adaptation rocambolesque du classique de Cervantès.
Pour l’occasion, nos artistes ont eu le privilège de revêtir les précieux costumes du Théâtre du Trident.
Don Quichotte remix
Un avenir prometteur
Quelques temps après, la troupe de théâtre du premier cycle a également conquis le public de la Salle Jean-Paul-Tardif avec la présentation de l’excellente pièce « L’oiseau vert». Cette fois, les spectateurs a pu apprécier un brillant mélange de fable théâtrale, de conte philosophie et de bouffonnerie habilement interprété par les dix jeunes de la troupe.
Le comédien professionnel David Boily a assuré avec brio la mise en scène de cette adaptation de l’œuvre du dramaturge italien Carlo Gozzi.
L’Oiseau vert
